Créer un site internet

HISTOIRE DE LA MAIN SACREE

     Il était une fois, en Perse, un vaste et majestueux palais. Ce palais était habité d’un sultan aimé et fort riche. Ce sultan avait une fille qui se prénommait Layla. Cette princesse faisait rêver tous les jeunes garçons de Perse, plus particulièrement un …

     Plus loin, au fin fond de la Perse, il y avait une petite maison habitée d’une mère et de ses deux enfants, l’un d’entre eux se prénommait Alec, il avait le teint légèrement foncé, de beaux cheveux noir et des yeux sombres d’une grande magnificence. Le deuxième s’appelait Azimir, lui en revanche ne ressemblait point à Alec, il avait le teint très pale, des cheveux blonds, et des yeux d’un bleu profond. Tous deux étaient nés de la même mère, mais personne ne savait s’ils avaient le même père

Dix ans plus tard

     Un beau jour, dans un marché rempli de diverses marchandises, huiles de coco, du riz, d’olives et encore beaucoup d’autres, il y avait deux jeunes et beaux marchands qu’on reconnut sans aucun doute, ces deux marchands étaient bien Alec et son frère Azimir !

     Tout à coup, on entendit tout un orchestre se mettre à jouer, il ne suffit à Alec que d’un court instant pour qu’il prenne conscience de ce qui se passait !

En effet, c’était bien ce qu’il pensait : cet orchestre annonçait l’arrivée de la princesse Layla ! Alec se mit à courir pour rejoindre la princesse et lui demander sa main, car il était follement amoureux d’elle. Mais … la princesse ne porta  point d’attention à ce que lui faisait paraître Alec.

     Quelques jours plus tard, alors que Alec ne s’était pas remis du fait que la princesse l’avait ignoré à propos de ce qu’il lui disait, il prit la décision d’aller voir le sultan en personne pour demander la main de sa fille …

Alec arriva au palais, il frappa à la porte du majestueux palais, et un des serviteurs du Sultan se présenta et dit :

«  Qu’est-ce qui vous amène de si bonne heure ?

-         Je viens parler au Sultan, est-ce que cela pourrait se faire ? dit Alec avec volonté.

-         Je reviens pour vous le dire. dit-il  fermement. »

Alec n’attendit point longtemps, le serviteur revint quelques minutes plus tard, avec la permission de monter dans le palais pour pouvoir parler au Sultan.

Il monta rapidement, et quand il arriva devant le Sultan, il le salua avec un geste de bienveillance et dit :

«  Mon cher Sultan, puis-je vous faire paraître quelque chose d’important à propos de votre fille ? dit-il poliment.

-         Allez-y mon jeune garçon.  

-         Voilà, je suis follement amoureux d’elle, et j’aimerais pouvoir l’avoir comme femme.  

-         Mmmm …. Cela pourrait se faire, mais la question c’est : êtes-vous capable de vous occuper de ma fille ? Pour pouvoir vous donner la chance de le prouver, je vous confie quatre épreuves.  

-         Je ferai tout ce que vous me demanderez, mais est-ce que vous pouvez me faire paraître ces fameuses quatre épreuves ?  

-         Oui, Vizir pouvez-vous nous apporter les quatre épreuves ?  

-         Oui mon Sultan. Dit le Vizir. »  

Le vizir revînt avec un parchemin, qui était rempli d’inscriptions. Il le donna à Alec en lui faisant comprendre que les indications qu’il y avait dessus l’aideraient à accomplir les quatre épreuves. Alec l’inspecta et prit congé du Sultan.

     Alec arriva chez lui, prit ce qu’il avait besoin en affaires, un âne et quelques provisions. Il monta sur son âne, regarda le parchemin et vit que pour la première épreuve il devrait aller dans le désert de Sanambi, qui était un désert réputé pour être l’un des plus dangereux, car on pouvait se perdre facilement !

     Alec, qui était fort motivé, partit directement à la rencontre de cette fameuse première épreuve. Il arriva quelques heures après son départ. Il regarda le parchemin, et vit qu’il devait trouver une oasis. Par chance, il l’avait déjà trouvée il se précipita alors vers cette oasis et lut les instructions suivantes :       « Quand vous serez à l’oasis, orientez-vous vers l’ouest, quand ce sera fait faites cinquante-deux pas toujours vers l’ouest. Quand vous vous serez arrêté à la fin de vos cinquante-deux pas, tapez trois fois de votre pied droit par terre et deux fois de votre pied gauche par terre. Une porte devrait s’ouvrir et dites alors : Pierre magique viens à moi ! »

     Alec suivit ces indications à la lettre, tout marcha comme prévu, une porte apparut et il prononça les paroles, et récupéra la pierre magique dont il ignorait le pouvoir.

     Alec, fier d’avoir réussi, partit pour la deuxième épreuve où il devait se rendre au bord de l’Euphrate. Quand il arriva à cet endroit, il lut les indications précisément : «  Quand vous vous trouverez au bord de l’Euphrate nagez pendant 30 m et arrêtez-vous quand vous les aurez atteints. Plongez de 20 m de profondeur, balayez un peu le sable, vous devriez trouver une pièce d’or. Prenez- là et allez la mettre deux mètres plus loin en allant vers l’Est. Attendez trois secondes et un trésor apparaîtra sous vos yeux. Attention vous devrez faire toutes ces indications sans remonter à la surface pour respirer. »

     Alec avait beaucoup de chance car il avait un talent inné : il pouvait rester sous l’eau pendant fort longtemps. Alec suivit les instructions, et ne remonta pas une seule fois pour respirer, il ramena donc les cent onze pièces d’or à la surface.

     Il se rendit dans une petite rue en Perse pour pouvoir accomplir la troisième épreuve. Il s’agissait d’une énigme. Dans cette petite rue, quelqu’un l’attendait, Alec le vit et alla lui parler :

« J’imagine que c’est vous qui devez me faire paraître cette énigme dont tout le monde parle, alors allez-y je suis près.

-         Et bien vu que ta motivation est sans limite, voici l’énigme, mais tu n’auras qu’une seule chance pour répondre : Qu’est-ce qui a quatre pattes, puis deux pattes et enfin trois pattes ?

-         Mmmm  voyons réfléchissons… Ah ! Ca y est ! Je le sais ! C’est un bébé, un adulte et enfin une personne âgée !

-         Bravo … je n’aurais pas dû te sous-estimer. Dit-il avec inquiétude. »

     Alec se mit en route pour aller accomplir la quatrième épreuve. Cette épreuve exigeait de construire le plus beau palais que l’on pourrait imaginer, il avait déjà une idée de comment il serait, alors Alec alla chercher tous les habitants de Perse qui étaient prêts à travailler pour lui. Il en rencontra plus d’une centaine, ce qu’il lui était largement suffisant. Il leur avait promis que s’ils faisaient ce qu’il leur demandait, ils seraient couverts d’or à la fin du palais achevé.

     Il commença la description à l’intention de ses hommes :

« Je veux un palais avec trois toits arrondis : un principal plus gros que les autres, et deux secondaires donc plus petits. Sur ce palais, je veux aussi beaucoup de fenêtres entourées de splendides mosaïques, il faudra avoir une gigantesque porte. Je veux un grand bassin qui part de la porte avec un pont qui le traverse et qui donne accès à l’entrée de cette grande porte. Je veux aussi sur les côtés du bassin de multiples palmiers tous aussi beau que les fontaines qui se trouveront au milieu du bassin. A l’intérieur de ce palais, il y aura neuf chambres, trois salles de bains, cinq salons, deux cuisines et une très grande cour intérieure. Les salons et la cuisine seront remplis de grandes tables et beaucoup de biens. Les salles de bains seront équipées et les chambres pourront accueillir plus de 3 personnes. La cour sera remplie de diverses sortes d’arbres peu connus et elle aura aussi une petite fontaine et un bassin pour pouvoir se baigner. »

     Le palais fut achevé trois jours plus tard, Alec put le financer grâce aux cent onze pièces d’or qu’il avait récupérées grâce à la deuxième épreuve. Il n’eut besoin que de vingt-huit pièces d’or car une pièce d’or valait beaucoup !

     Ce palais était d’une grande magnificence car Alec ne vit jamais de toute sa vie un plus beau palais que celui qu’il venait de construire.

Alec put épouser la princesse, avec une seule condition, qu’il donne la pierre magique au sultan, soixante pièces d’or et la réponse à l’énigme.

Il épousa la princesse Layla et ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps.

 

                                      Swann et Margaux

 

HISTOIRE DE LA MAIN SACREE

 

Il était une fois, en Perse, un vaste et majestueux palais. Ce palais était habité d’un sultan aimé et fort riche. Ce sultan avait une fille qui se prénommait Layla. Cette princesse faisait rêver tous les jeunes garçons de Perse, plus particulièrement un …  

 

Plus loin, au fin fond de la Perse, il y avait une petite maison habitée d’une mère et de ses deux enfants, l’un d’entre eux se prénommait Alec, il avait le teint légèrement foncé, de beaux cheveux noir et des yeux sombres d’une grande magnificence. Le deuxième s’appelait Azimir, lui en revanche ne ressemblait point à Alec, il avait le teint très pale, des cheveux blonds, et des yeux d’un bleu profond. Tous deux étaient nés de la même mère, mais personne ne savait s’ils avaient le même père 

 

Dix ans plus tard

 

Un beau jour, dans un marché rempli de diverses marchandises, huiles de coco, du riz, d’olives et encore beaucoup d’autres, il y avait deux jeunes et beaux marchands qu’on reconnut sans aucun doute, ces deux marchands étaient bien Alec et son frère Azimir !

         Tout à coup, on entendit tout un orchestre se mettre à jouer, il ne suffit à Alec que d’un court instant pour qu’il prenne conscience de ce qui se passait !

En effet, c’était bien ce qu’il pensait : cet orchestre annonçait l’arrivée de la princesse Layla ! Alec se mit à courir pour rejoindre la princesse et lui demander sa main, car il était follement amoureux d’elle. Mais … la princesse ne porta  point d’attention à ce que lui faisait paraître Alec.

 

         Quelques jours plus tard, alors que Alec ne s’était pas remis du fait que la princesse l’avait ignoré à propos de ce qu’il lui disait, il prit la décision d’aller voir le sultan en personne pour demander la main de sa fille …

Alec arriva au palais, il frappa à la porte du majestueux palais, et un des serviteurs du Sultan se présenta et dit :

 

«  Qu’est-ce qui vous amène de si bonne heure ?

-         Je viens parler au Sultan, est-ce que cela pourrait se faire ? dit Alec avec volonté.

-         Je reviens pour vous le dire. dit-il  fermement. »

 

Alec n’attendit point longtemps, le serviteur revint quelques minutes plus tard, avec la permission de monter dans le palais pour pouvoir parler au Sultan.

Il monta rapidement, et quand il arriva devant le Sultan, il le salua avec un geste de bienveillance et dit :

«  Mon cher Sultan, puis-je vous faire paraître quelque chose d’important à propos de votre fille ? dit-il poliment.

-         Allez-y mon jeune garçon.  

-         Voilà, je suis follement amoureux d’elle, et j’aimerais pouvoir l’avoir comme femme.  

-         Mmmm …. Cela pourrait se faire, mais la question c’est : êtes-vous capable de vous occuper de ma fille ? Pour pouvoir vous donner la chance de le prouver, je vous confie quatre épreuves.  

-         Je ferai tout ce que vous me demanderez, mais est-ce que vous pouvez me faire paraître ces fameuses quatre épreuves ?  

-         Oui, Vizir pouvez-vous nous apporter les quatre épreuves ?

-         Oui mon Sultan. Dit le Vizir. »

 

Le vizir revînt avec un parchemin, qui était rempli d’inscriptions. Il le donna à Alec en lui faisant comprendre que les indications qu’il y avait dessus l’aideraient à accomplir les quatre épreuves. Alec l’inspecta et prit congé du Sultan.

 

            Alec arriva chez lui, prit ce qu’il avait besoin en affaires, un âne et quelques provisions. Il monta sur son âne, regarda le parchemin et vit que pour la première épreuve il devrait aller dans le désert de Sanambi, qui était un désert réputé pour être l’un des plus dangereux, car on pouvait se perdre facilement !

         Alec, qui était fort motivé, partit directement à la rencontre de cette fameuse première épreuve. Il arriva quelques heures après son départ. Il regarda le parchemin, et vit qu’il devait trouver une oasis. Par chance, il l’avait déjà trouvée il se précipita alors vers cette oasis et lut les instructions suivantes :       « Quand vous serez à l’oasis, orientez-vous vers l’ouest, quand ce sera fait faites cinquante-deux pas toujours vers l’ouest. Quand vous vous serez arrêté à la fin de vos cinquante-deux pas, tapez trois fois de votre pied droit par terre et deux fois de votre pied gauche par terre. Une porte devrait s’ouvrir et dites alors : Pierre magique viens à moi ! »

Alec suivit ces indications à la lettre, tout marcha comme prévu, une porte apparut et il prononça les paroles, et récupéra la pierre magique dont il ignorait le pouvoir.

         Alec, fier d’avoir réussi, partit pour la deuxième épreuve où il devait se rendre au bord de l’Euphrate. Quand il arriva à cet endroit, il lut les indications précisément : «  Quand vous vous trouverez au bord de l’Euphrate nagez pendant 30 m et arrêtez-vous quand vous les aurez atteints. Plongez de 20 m de profondeur, balayez un peu le sable, vous devriez trouver une pièce d’or. Prenez- là et allez la mettre deux mètres plus loin en allant vers l’Est. Attendez trois secondes et un trésor apparaîtra sous vos yeux. Attention vous devrez faire toutes ces indications sans remonter à la surface pour respirer. »

            Alec avait beaucoup de chance car il avait un talent inné : il pouvait rester sous l’eau pendant fort longtemps. Alec suivit les instructions, et ne remonta pas une seule fois pour respirer, il ramena donc les cent onze pièces d’or à la surface.

            Il se rendit dans une petite rue en Perse pour pouvoir accomplir la troisième épreuve. Il s’agissait d’une énigme. Dans cette petite rue, quelqu’un l’attendait, Alec le vit et alla lui parler :

« J’imagine que c’est vous qui devez me faire paraître cette énigme dont tout le monde parle, alors allez-y je suis près.

-         Et bien vu que ta motivation est sans limite, voici l’énigme, mais tu n’auras qu’une seule chance pour répondre : Qu’est-ce qui a quatre pattes, puis deux pattes et enfin trois pattes ?

-         Mmmm  voyons réfléchit… Ah ! Ca y est ! Je le sais ! C’est un bébé, un adulte et enfin une personne âgée ! 

-         Bravo … je n’aurais pas dû te sous-estimer. Dit-il avec inquiétude. » 

 

Alec se mit en route pour aller accomplir la quatrième épreuve. Cette épreuve exigeait de construire le plus beau palais que l’on pourrait imaginer, il avait déjà une idée de comment il serait, alors Alec alla chercher tous les habitants de Perse qui étaient prêts à travailler pour lui. Il en rencontra plus d’une centaine, ce qu’il lui était largement suffisant. Il leur avait promis que s’ils faisaient ce qu’il leur demandait, ils seraient couverts d’or à la fin du palais achevé. 

         Il commença la description à l’intention de ses hommes :

« Je veux un palais avec trois toits arrondis : un principal plus gros que les autres, et deux secondaires donc plus petits. Sur ce palais, je veux aussi beaucoup de fenêtres entourées de splendides mosaïques, il faudra avoir une gigantesque porte. Je veux un grand bassin qui part de la porte avec un pont qui le traverse et qui donne accès à l’entrée de cette grande porte. Je veux aussi sur les côtés du bassin de multiples palmiers tous aussi beau que les fontaines qui se trouveront au milieu du bassin. A l’intérieur de ce palais, il y aura neuf chambres, trois salles de bains, cinq salons, deux cuisines et une très grande cour intérieure. Les salons et la cuisine seront remplis de grandes tables et beaucoup de biens. Les salles de bains seront équipées et les chambres pourront accueillir plus de 3 personnes. La cour sera remplie de diverses sortes d’arbres peu connus et elle aura aussi une petite fontaine et un bassin pour pouvoir se baigner. »

 

Le palais fut achevé trois jours plus tard, Alec put le financer grâce aux cent onze pièces d’or qu’il avait récupérées grâce à la deuxième épreuve. Il n’eut besoin que de vingt-huit pièces d’or car une pièce d’or valait beaucoup !

         Ce palais était d’une grande magnificence car Alec ne vit jamais de toute sa vie un plus beau palais que celui qu’il venait de construire.

         Alec put épouser la princesse, avec une seule condition, qu’il donne la pierre magique au sultan, soixante pièces d’or et la réponse à l’énigme.

Il épousa la princesse Layla et ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps.

 

                      Swann et Margaux