L’Amour entre un voleur et une princesse

   Il était une fois, dans le Sud de l’Afrique, une princesse qui s’appelait Tarzina. Elle était très belle. Un jour, alors que Tarzina sortait de son palais, elle vit un homme voler des fruits à un marchand. Le voleur agissait ainsi car il n’avait pas le sous pour en acheter. Cet homme s’appelait Mohamed. Mais ce n’était pas la première fois qu’il volait. Il ne se faisait jamais attraper par les gardes. Mais un jour, il se fit attraper et ils l’emmenèrent au palais pour que le sultan décide de son sort. A coté du trône, Mohamed croisa le regard de la belle princesse Tarzina. Ils se regardèrent un long moment avant que les gardes n’emmènent Mohamed en prison. Martin, le plus cruel des gardes, aimait la princesse. Mais elle, ne l’aimait pas. Alors Martin jaloux du regard qu’ils s’étaient lancé, alla frapper Mohamed pour qu’il n’ait plus de lien avec la princesse. Martin partit laissant Mohamed souffrant et désespéré.

   Le lendemain, un bruit réveilla Mohamed. C’était un oiseau ; il entra :

« Bonjour, je viens te proposer de l’aide. Je suis l’oiseau de Tarzina. Je m’appelle Wakïa. » Dit-il.

   Mohamed fut tout d’abord surpris, mais il accepta car son aide pouvait lui être grande. Ils s’échappèrent grâce à la magie de l’oiseau. Puis Wakïa emmena Mohamed près d’une dune. Il prononça quelques mots, et, une ouverture dans la dune apparut. Wakïa dit à Mohamed d’entrer. Il entra. Dans cette grotte régnait l’obscurité. Soudain, elle disparut laissant place à un somptueux palais orné de bijoux et de diamants. Quand il vit la splendeur de ce magnifique palais, il y entra et il aperçut Martin avec Tarzina. Quand Mohamed les vit, il fut triste et surpris de l’infidélité de Tarzina. Il partit. L’oiseau n’était plus là, il fut donc seul. Sur le chemin du retour, Mohamed rencontra Tarzina. Elle lui expliqua qu’elle avait été obligée de rester avec Martin sinon il l’aurait tuée. Mohamed lui demanda qui était cet oiseau et elle lui répondit qu’il était en réalité le complice de Martin. Tarzina et Mohamed se pardonnèrent, s’installèrent dans cette nouvelle ville et se fiancèrent un an après. Le sultan apprit très vite ce qui s’était passé. Il lui envoya une lettre en lui disant qu’elle pouvait se marier avec Mohamed, à condition qu’il ne vole plus. Il accepta. Alors ils furent très heureux.

   Deux ans plus tard, Tarzina et Mohamed se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Et pour Martin, le sultan lui fit couper la tête car il maltraitait en réalité les villageois.

                                                           Duygu et Léa

 

 

 

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