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Makarov piment-rouge le méchant sultan.

     Jadis, un homme nommé Price, était un parisien. Il vivait avec sa femme, et ils étaient très riches et vivaient paisiblement. Ils vivaient à Paris.

     Mais un jour qu’il faisait les magasins, il vit un homme entrant dans une boutique. Il sentit passer sous sa main un bout de papier. L’homme lui dit :

« Lis ce papier, c’est une prévention. »

Price lut le papier et découvrit quelque chose d’horrible.

Il courut à toute vitesse, il vit des orientaux. Il prit un fusil M14 et tira sur les ennemis. Les orientaux sortirent leur sabre, et frappèrent en cœur la tour Eiffel, qui s’effondra sur la ville. Price fuit le sultan. Celui-ci jeta un sort sur Price qui le renvoya grâce à un bâton qui fut transformé en miroir.

La fille du Sultan qui vivait à Paris et qui détestait son pays d’origine sortit ses armes et leur donna une bonne leçon pour protéger Price. Le Sultan Makarov sortit son piment rouge et jeta un sort sur Price qui s’enfuit. La fille du Sultan fut fort gênée d’avoir trahit son père qui l’avait tant enrichie. En pensant à tout cela, elle alla soigner le pauvre Price blessé. Elle trouva dans l’armoire de Price une photo de son père au côté du héros. Elle décida alors d’en parler à Price :

« Price, dit elle, pourquoi sur cette image te trouves-tu avec mon papa ?

- Apprends, reprit Price, que ton père était mon ancien frère d’arme, mais il m’a trahi. »

La femme de Price…

(Shéhérazade qui vit le jour stoppa son récit, le lendemain, elle continua son récit avec beaucoup plus d’énergie)…

La femme de Price les emmena faire un tour, ils retrouvèrent leurs ennemis et combattirent. La femme de Price se cacha. Elle fut par la suite enlevée par le grand Vizir.

Price n’eut pas le temps de sortir son bâton que Makarov utilisa son piment rouge magique. Il créa un mur bloquant l’accès à Price et la fille du sultan. Price eut d’abord l’idée d’un marteau piqueur et prit donc un lance roquette RPG7 et cassa ce mur. Il prit son fusil d’assaut AK-47 et tira sur tout le monde sans pitié.

La fille du Sultan sortit des piments de son manteau qui était rembourré avec des piments et non pas par de la mousse. Elle en mangea un bon millième, et se mit à cracher du feu comme un dragon.

Les ennemis s’enfuirent, en rendant la femme de Price au héros. Il la remit dans son fauteuil roulant et rentra. Price fut récompensé et Paris sauvé.

Le héros retrouva sa vie harmonieuse d’avant et tous deux vécurent heureux à jamais.

 

     Nathan